Lorsque précision, empathie
et haute technologie s’unissent
au service de l’excellence
Portrait
Philosophie
Expérience
Pratique privée à Genève
Formateur et aura internationale
Liste complète des publications
CV
Version complète du CV sur LinkedIn
- Docteur en Médecine, Université de Liège, 1998 : La plus grande distinction
- Spécialiste en Neurochirurgie, Universités de Liège et Genève, 2004
- Diplôme Européen de Neurochirurgie, 2004
- Diplôme Européen de Neurochirurgie pédiatrique, 2007
- USMLE (United States Medical License Examination) step 1, Paris 1996
- USMLE (United States Medical License Examination) step 2, Paris 1997
- ECFMG (English Language Proficiency Test), Genève 1998
- TOEFL (Test Of English as a Foreign Language), Bruxelles 1998
- EANS (European Association of Neurosurgical Societies) Cursus complet 4 ans
- ESPN (European Society of Pediatric Neurosurgery) Cursus complet 4 ans
Distinctions scientifiques :
- Prix Rhône-Poulenc 1998 : Meilleurs résultats au cours des études de médecine
- Lauréat de la fondation Rotary International, 2003
Fonctions :
- 2013-Actuellement : Neurochirurgien en pratique privée, Genève, Suisse
- 2012 : Maître de stage en Neurochirurgie, Belgique
- 2005-2012 : Neurochirurgien et Neurochirurgien Pédiatrique, Liège, Belgique
- 2003-2005 : Chef de Clinique adjoint, Chef de Clinique en Neurochirurgie HUG, Genève, Suisse
- 1998-2003 : Résident en Neurochirurgie
- Université de Liège Belgique
- Université de Genève, Suisse
- Harvard Medical School,Boston USA
Associations :
- Membre de la North American Spine Society (NASS)
- Membre de la Société Belge de Neurochirurgie
- Membre de l’Association des Médecins de Genève (AMG)
- Membre de la SOLAS (Society of Lateral Access Surgery)
A côté d’une pratique complète de neurochirurgie générale rachidienne et cérébrale, le Docteur Schils offre des solutions personnalisées à tous les problèmes de chirurgie de colonne vertébrale (Spine Surgery) et ce, au moyen d’options novatrices, élégantes et moins invasives (O-Arm, Neuronavigation, Microscope, Nouvelles techniques d’abords chirurgicaux). Ceci englobe toutes les pathologies cervicales, thoraciques et lombaires.
Le Docteur Schils a développé une expertise en neurochirurgie mini-invasive, dans les nouvelles approches antérieures et latérales de la colonne et dans les traitements micro invasifs des fractures de colonne. A ce titre, il est reconnu par la communauté scientifique et par l’industrie qui s’attache régulièrement ses services pour l’élaboration de nouvelles techniques et solutions médicales.
Ci-contre, vous trouverez un éventail des problèmes les plus fréquemment rencontrés.
CHIRURGIE DE LA COLONNE
Colonne cervicale
Le point commun des solutions chirurgicales est de libérer la compression sur la racine nerveuse ou la moelle épinière responsable des douleurs ou des signes neurologiques.
Les sources de compression peuvent être un morceau de disque (hernie discale), un ostéophyte (arthrose, sténose foraminale, canal cervical rétréci), une calcification des ligaments (canal cervical rétréci), voire un fragment d’os (fracture) ou une lésion infectieuse (abcès) ou tumorale.
Les symptômes d’appel les plus fréquents sont la douleur (dans les cervicales ou irradiant dans les bras, cervico-brachialgies, névralgies cervico-brachiales, torticolis), les paresthésies (picotements ou fourmillements voire sensation de décharges électriques ou de brûlures) et les pertes de force (parésie, paralysie). Le but de la décompression est de supprimer les symptômes douloureux ou neurologiques et de permettre potentiellement une récupération de la lésion du nerf ou de la moelle tout en garantissant la stabilité de la colonne après l’opération autorisant le retour aux activités sociales, professionnelles et de loisirs.
La durée de convalescence et le délai de retour aux activités dépendent du type de pathologie, de la technique chirurgicale utilisée et des spécificités de chaque patient. Dans tous les cas, un agenda personnalisé de reprise progressive des activités vous sera proposé.
- Hernie discale cervicale
- Médullopathie cervico-arthrosique
- Arthrose cervicale, sténose foraminale
- Traumatismes et tumeurs
Soit abord antérieur et fusion soit abord antérieur et prothèse discale avec préservation de mobilité, ou encore abord postérieur. Récupération rapide (2-6 semaines), retour à domicile sous 2-3 jours, pas de minerve, physiothérapie post opératoire conseillée.
Canal cervical rétréci ou étroit, abord antérieur et /ou postérieur avec décompression (discectomie ou corpectomie) et fusion
Abord antérieur, décompression et fusion
Fractures de colonne, instabilité, tumeurs primitives ou métastases osseuses
Colonne dorsale
- Hernie discale thoracique, tumeurs ou fractures
Les pathologies rencontrées sont identiques à celles observées au niveau cervical ou lombaire mais leur expression peut-être plus floue et leur prise en charge doit être exhaustivement évaluée
Colonne lombaire
- Hernie discale lombaire
- Hernies discales foraminales et extra-foraminales
- Canal lombaire étroit / sténose lombaire
- Fractures
- Discopathies lombaires
Microdiscectomie, microdécompression. Les symptômes sont les douleurs du dos ou irradiées dans les jambes (lumbagos, sciatiques) parfois associées aux paresthésies (picotements ou fourmillements voire sensation de décharges électriques ou de brûlures) ou déficits moteurs (perte de force dans la jambe ou dans le pied). La technique sous microscope permet de retirer le morceau de disque au contact du nerf via la préservation de toutes les structures musculaires, osseuses et ligamentaires. Il n’y a pas de perte de mobilité post-opératoire, le séjour en clinique est de 3-4 jours, le retour aux activités professionnelles s’effectue généralement après 3-4 semaines. Dès votre retour à domicile, la rééducation physiothérapeutique peut débuter.
Far lateral microdiscectomy, décompression extracanalaires. Le mode de présentation de ces pathologies est identique aux hernies classiques mais l’approche chirurgicale diffère légèrement compte tenu de la situation de la hernie discale. L’évolution après l’opération est identique à une hernie discale classique.
Laminectomie et micro-décompressions sélectives. Situation extrêmement fréquente où l’on observe progressivement une compression des racines nerveuses lombaires dans le canal rachidien suite à l’usure des différentes structures de la colonne (disques intervertébraux, ligaments, articulations). Les symptômes peuvent se présenter sous forme de douleurs du dos ou des jambes, d’une intolérance à la station debout prolongée, de difficultés à la marche (claudication neurogène) de paresthésies ou de troubles de la force. Le but de l’intervention est de rendre de la place aux structures nerveuses permettant une amélioration rapide, importante et durable des symptômes.
Fractures traumatiques, ostéoporotiques ou tumorales (Kyphoplasties, Kivaplasties, Vertébroplasties), fixations percutanées. Lorsqu’une ou plusieurs vertèbres sont fracturées, la stabilisation chirurgicale permet de diminuer les douleurs et d’accélérer la cicatrisation osseuse en recherchant la correction la plus anatomique possible. Récemment des nouvelles techniques ont permis de traiter ces problèmes par de mini-incisions à la peau voire simplement en injectant dans les vertèbres des ciments biologiques.
Usure progressive du disque (dégénérescence discale) responsable de douleurs chroniques du bas du dos, de lumbagos, de perte de confort lombaire ou de diminution de qualité de vie.
Techniques possibles (toute indication résulte de l’étude approfondie de votre situation clinique et de votre dossier radiologique)
- ALIF : Anterior Lumbar Interbody Fusion, Fusion lombaire par voie antérieure
- TDR : Artificial Disc,Total Disc Remplacement, Prothèse discale lombaire
- XLIF : Extreme Lateral Interbody Fusion, Fusion par voie latérale
- Décompressions lombaires et Instrumentations
- PLIF : Posterior Lumbar Interbody Fusion
- TLIF : Transforaminal Interbody Fusion
- MISS : Minimally Invasive Spine Surgery
- Complex spine : revision spine surgery – degenerative scoliosis
CHIRURGIE DE LA COLONNE
Colonne cervicale
Le point commun des solutions chirurgicales est de libérer la compression sur la racine nerveuse ou la moelle épinière responsable des douleurs ou des signes neurologiques.
Les sources de compression peuvent être un morceau de disque (hernie discale), un ostéophyte (arthrose, sténose foraminale, canal cervical rétréci), une calcification des ligaments (canal cervical rétréci), voire un fragment d’os (fracture) ou une lésion infectieuse (abcès) ou tumorale.
Les symptômes d’appel les plus fréquents sont la douleur (dans les cervicales ou irradiant dans les bras, cervico-brachialgies, névralgies cervico-brachiales, torticolis), les paresthésies (picotements ou fourmillements voire sensation de décharges électriques ou de brûlures) et les pertes de force (parésie, paralysie). Le but de la décompression est de supprimer les symptômes douloureux ou neurologiques et de permettre potentiellement une récupération de la lésion du nerf ou de la moelle tout en garantissant la stabilité de la colonne après l’opération autorisant le retour aux activités sociales, professionnelles et de loisirs.
La durée de convalescence et le délai de retour aux activités dépendent du type de pathologie, de la technique chirurgicale utilisée et des spécificités de chaque patient. Dans tous les cas, un agenda personnalisé de reprise progressive des activités vous sera proposé.
- Hernie discale cervicale
- Médullopathie cervico-arthrosique
- Arthrose cervicale, sténose foraminale
- Traumatismes et tumeurs
Soit abord antérieur et fusion soit abord antérieur et prothèse discale avec préservation de mobilité, ou encore abord postérieur. Récupération rapide (2-6 semaines), retour à domicile sous 2-3 jours, pas de minerve, physiothérapie post opératoire conseillée.
Canal cervical rétréci ou étroit, abord antérieur et /ou postérieur avec décompression (discectomie ou corpectomie) et fusion
Abord antérieur, décompression et fusion
Fractures de colonne, instabilité, tumeurs primitives ou métastases osseuses
CHIRURGIE DE LA COLONNE
Colonne dorsale
- Hernie discale thoracique, tumeurs ou fractures
Les pathologies rencontrées sont identiques à celles observées au niveau cervical ou lombaire mais leur expression peut-être plus floue et leur prise en charge doit être exhaustivement évaluée
CHIRURGIE DE LA COLONNE
Colonne lombaire
- Hernie discale lombaire
- Hernies discales foraminales et extra-foraminales
- Canal lombaire étroit / sténose lombaire
- Fractures
- Discopathies lombaires
Microdiscectomie, microdécompression. Les symptômes sont les douleurs du dos ou irradiées dans les jambes (lumbagos, sciatiques) parfois associées aux paresthésies (picotements ou fourmillements voire sensation de décharges électriques ou de brûlures) ou déficits moteurs (perte de force dans la jambe ou dans le pied). La technique sous microscope permet de retirer le morceau de disque au contact du nerf via la préservation de toutes les structures musculaires, osseuses et ligamentaires. Il n’y a pas de perte de mobilité post-opératoire, le séjour en clinique est de 3-4 jours, le retour aux activités professionnelles s’effectue généralement après 3-4 semaines. Dès votre retour à domicile, la rééducation physiothérapeutique peut débuter.
Far lateral microdiscectomy, décompression extracanalaires. Le mode de présentation de ces pathologies est identique aux hernies classiques mais l’approche chirurgicale diffère légèrement compte tenu de la situation de la hernie discale. L’évolution après l’opération est identique à une hernie discale classique.
Laminectomie et micro-décompressions sélectives. Situation extrêmement fréquente où l’on observe progressivement une compression des racines nerveuses lombaires dans le canal rachidien suite à l’usure des différentes structures de la colonne (disques intervertébraux, ligaments, articulations). Les symptômes peuvent se présenter sous forme de douleurs du dos ou des jambes, d’une intolérance à la station debout prolongée, de difficultés à la marche (claudication neurogène) de paresthésies ou de troubles de la force. Le but de l’intervention est de rendre de la place aux structures nerveuses permettant une amélioration rapide, importante et durable des symptômes.
Fractures traumatiques, ostéoporotiques ou tumorales (Kyphoplasties, Kivaplasties, Vertébroplasties), fixations percutanées. Lorsqu’une ou plusieurs vertèbres sont fracturées, la stabilisation chirurgicale permet de diminuer les douleurs et d’accélérer la cicatrisation osseuse en recherchant la correction la plus anatomique possible. Récemment des nouvelles techniques ont permis de traiter ces problèmes par de mini-incisions à la peau voire simplement en injectant dans les vertèbres des ciments biologiques.
Usure progressive du disque (dégénérescence discale) responsable de douleurs chroniques du bas du dos, de lumbagos, de perte de confort lombaire ou de diminution de qualité de vie.
Techniques possibles (toute indication résulte de l’étude approfondie de votre situation clinique et de votre dossier radiologique)
- ALIF : Anterior Lumbar Interbody Fusion, Fusion lombaire par voie antérieure
- TDR : Artificial Disc,Total Disc Remplacement, Prothèse discale lombaire
- XLIF : Extreme Lateral Interbody Fusion, Fusion par voie latérale
- Décompressions lombaires et Instrumentations
- PLIF : Posterior Lumbar Interbody Fusion
- TLIF : Transforaminal Interbody Fusion
- MISS : Minimally Invasive Spine Surgery
- Complex spine : revision spine surgery – degenerative scoliosis
NEUROCHIRURGIE CÉRÉBRALE
Interventions pour tumeurs
Tumeurs bénignes ou malignes, méningiomes, gliomes, tumeurs osseuses de la voûte crânienne ou métastases cérébrales, en condition de neuronavigation.
On distingue classiquement différents types de tumeurs selon le tissu d’origine (cerveau lui-même, enveloppes cérébrales ou boîte crânienne) ainsi que leur degré d’agressivité. Si les tumeurs bénignes peuvent souvent être traitées par la chirurgie seule, les tumeurs plus agressives demandent parfois des traitements complémentaires toujours discutés en staff multidisciplinaire.
Après un bilan complet pré-chirurgical, la lésion peut être enlevée par ouverture de la boîte crânienne (craniotomie) et ce en condition de neuronavigation (toute l’intervention peut-être programmée et suivie en tant réel sur une console informatique augmentant la précision chirurgicale et pouvant être comparée à un système GPS ultra-performant). Toute lésion réséquée est systématiquement envoyée au laboratoire pour établir un diagnostic de certitude sur la nature du processus.
Intervention pour hydrocéphalie
Dérivation ventriculo-péritonéale.
Le cerveau baigne dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) au sein de la boîte crânienne et il en contient dans des espaces appelés ventricules.
Toute la vie, un équilibre s’établit entre la production et la résorption en quantité égale de ce liquide autorisant un renouvellement constant de ce dernier. Lorsque les structures destinées à le résorber vieillissent ou lorsqu’un obstacle apparaît sur le trajet normal de circulation du liquide, celui-ci s’accumule au sein des ventricules et peut entraver le fonctionnement normal du cerveau. Des symptômes tels que troubles de la marche, de la mémoire ou des problèmes urinaires (incontinence principalement) peuvent alors se développer. Le traitement consiste à prendre en charge au plus tôt ce problème en « court-circuitant » le trajet normal du liquide et en permettant à l’excès de liquide dans le cerveau de s’évacuer dans le ventre (cavité péritonéale) au moyen d’un petit cathéter ou drain connecté à une valve.
Il s’agit d’une intervention bénigne ne nécessitant que 2-3 jours en clinique et permettant de freiner l’évolution des symptômes. Tout le suivi de réglage de la valve peut secondairement s’effectuer en ambulatoire.
Biopsies cérébrales
Lorsqu’une lésion cérébrale est identifiée, il est parfois intéressant d’en connaître la nature exacte avant de décider de la meilleure stratégie thérapeutique. Dans ces situations, des biopsies peuvent s’organiser. Le but est de prélever une quantité microscopique de tissu avec une précision extrême et avec des risques très faibles pour analyser l’échantillon afin d’établir le diagnostic précis. Une fois ce dernier obtenu, la meilleure stratégie de traitement peut se discuter.
Evacuation d’hématomes (sous-duraux, intra-cérébraux)
Après un traumatisme ou spontanément, des collections de sang peuvent s’accumuler dans la boîte crânienne (en particulier si le patient prend des médicaments ayant une action sur la coagulation du sang). Lorsque ces collections atteignent une taille significative, elles peuvent comprimer le cerveau et provoquer des symptômes variés selon l’endroit où elles sont localisées (perte de force ou de sensibilité, troubles de la parole ou de l’équilibre, épilepsie, confusion, somnolence, nausées, vomissements…). Parfois un geste chirurgical est indiqué pour évacuer ces collections et accélérer la récupération du patient.
NEUROCHIRURGIE CÉRÉBRALE
Interventions pour tumeurs
Tumeurs bénignes ou malignes, méningiomes, gliomes, tumeurs osseuses de la voûte crânienne ou métastases cérébrales, en condition de neuronavigation.
On distingue classiquement différents types de tumeurs selon le tissu d’origine (cerveau lui-même, enveloppes cérébrales ou boîte crânienne) ainsi que leur degré d’agressivité. Si les tumeurs bénignes peuvent souvent être traitées par la chirurgie seule, les tumeurs plus agressives demandent parfois des traitements complémentaires toujours discutés en staff multidisciplinaire.
Après un bilan complet pré-chirurgical, la lésion peut être enlevée par ouverture de la boîte crânienne (craniotomie) et ce en condition de neuronavigation (toute l’intervention peut-être programmée et suivie en tant réel sur une console informatique augmentant la précision chirurgicale et pouvant être comparée à un système GPS ultra-performant). Toute lésion réséquée est systématiquement envoyée au laboratoire pour établir un diagnostic de certitude sur la nature du processus.
NEUROCHIRURGIE CÉRÉBRALE
Intervention pour hydrocéphalie
Dérivation ventriculo-péritonéale.
Le cerveau baigne dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) au sein de la boîte crânienne et il en contient dans des espaces appelés ventricules.
Toute la vie, un équilibre s’établit entre la production et la résorption en quantité égale de ce liquide autorisant un renouvellement constant de ce dernier. Lorsque les structures destinées à le résorber vieillissent ou lorsqu’un obstacle apparaît sur le trajet normal de circulation du liquide, celui-ci s’accumule au sein des ventricules et peut entraver le fonctionnement normal du cerveau. Des symptômes tels que troubles de la marche, de la mémoire ou des problèmes urinaires (incontinence principalement) peuvent alors se développer. Le traitement consiste à prendre en charge au plus tôt ce problème en « court-circuitant » le trajet normal du liquide et en permettant à l’excès de liquide dans le cerveau de s’évacuer dans le ventre (cavité péritonéale) au moyen d’un petit cathéter ou drain connecté à une valve.
Il s’agit d’une intervention bénigne ne nécessitant que 2-3 jours en clinique et permettant de freiner l’évolution des symptômes. Tout le suivi de réglage de la valve peut secondairement s’effectuer en ambulatoire.
NEUROCHIRURGIE CÉRÉBRALE
Biopsies cérébrales
Lorsqu’une lésion cérébrale est identifiée, il est parfois intéressant d’en connaître la nature exacte avant de décider de la meilleure stratégie thérapeutique. Dans ces situations, des biopsies peuvent s’organiser. Le but est de prélever une quantité microscopique de tissu avec une précision extrême et avec des risques très faibles pour analyser l’échantillon afin d’établir le diagnostic précis. Une fois ce dernier obtenu, la meilleure stratégie de traitement peut se discuter.
NEUROCHIRURGIE CÉRÉBRALE
Evacuation d’hématomes (sous-duraux, intra-cérébraux)
Après un traumatisme ou spontanément, des collections de sang peuvent s’accumuler dans la boîte crânienne (en particulier si le patient prend des médicaments ayant une action sur la coagulation du sang). Lorsque ces collections atteignent une taille significative, elles peuvent comprimer le cerveau et provoquer des symptômes variés selon l’endroit où elles sont localisées (perte de force ou de sensibilité, troubles de la parole ou de l’équilibre, épilepsie, confusion, somnolence, nausées, vomissements…). Parfois un geste chirurgical est indiqué pour évacuer ces collections et accélérer la récupération du patient.
NEUROCHIRURGIE DE LA DOULEUR
Neurostimulation cordonale postérieure
y compris à haute fréquence
La douleur chronique au dos ou aux jambes peut apparaître soit chez des patients déjà opérés et toujours douloureux soit chez des patients pour lesquels aucune intervention thérapeutique étiologique n’est envisageable. Lorsque les traitements classiques (médicaments, infiltrations, thérapies manuelles …) ont été essayés sans succès et lorsque l’impact sur la qualité de vie devient significatif, un traitement chirurgical des symptômes douloureux peut s’envisager. Chez des patients bien sélectionnés, de petites électrodes peuvent être placées au contact de la moelle épinière par le neurochirurgien et peuvent brouiller le signal douloureux adressé au cerveau (système un peu comparable à un Pace-Maker). Ces traitements demandent une évaluation et un suivi multidisciplinaires mais ont connu un développement substantiel ces dernières années.
PLAGIOCÉPHALIE
Nos modes de vie actuels (Maxi-Cosy, sièges autos, parents actifs et mobiles) ainsi que des évolutions médicales (recommandation de la position couchée sur le dos pour éviter la mort subite) conduisent à une fréquence accrue de bébés aux têtes plates (plagiocéphalie). Souvent, le corps médical donne aux parents un message rassurant de correction spontanée systématique. Certaines formes sévères ou diagnostiquées tardivement s’avèrent cependant résistantes aux traitements classiques (kinésithérapie, ostéopathie, manœuvres de positionnement) et un traitement par orthèse dynamique crânienne doit s’envisager. Notre équipe (neurochirurgien, ergothérapeutes, ostéopathes et kinésithérapeutes) s’est spécialisée depuis plus de 10 ans dans la prise en charge de ce problème fréquent et souvent anxiogène pour les parents.
Contacts et informations complémentaires
Le protocole de traitement comprend une consultation diagnostique, une phase de création d’orthèse et une période de suivi.
Les consultations et la phase de suivi sont réalisées en Belgique et en Suisse.
La phase de confection de l’orthèse s’effectue actuellement uniquement en Belgique (2 RV à prévoir)
Prise de RV
Par tél + 32 472 808132
Par email : plagiodocteurschils@gmail.com
Cabinet de Plagiocéphalie
Dr Schils – Mmes Jehaes et Bradfer
Rue Libon 5
4800 Verviers
Belgique
Intérêt des orthèses dynamiques crâniennes dans le traitement de la plagiocéphalie
Schils F., Jehaes M-L
Percentile 2011, Vol 16, N°4, 122-125.
Les cliniques privées genevoises ont continuellement investi afin d’offrir les plateaux techniques les plus modernes et performants en salle d’opération permettant de pratiquer la neurochirurgie et en particulier la chirurgie du dos. Toutes celles où travaille le Dr Schils disposent de microscopes neurochirurgicaux les plus récents, de la neuronavigation et du O-Arm ou encore du neuromonitoring ce qui permet d’obtenir les meilleures conditions actuelles de sécurité et de précision.
Le Dr Schils possède plusieurs années d’expérience avec ses différentes techniques et il publie régulièrement sur les intérêts potentiels de ces outils chirurgicaux. En plus de plateaux techniques de pointe en salle d’opération, les cliniques disposent d’un personnel infirmier d’étage et de salle d’opération extrêmement bien formé et compétent offrant au patient, en marge du geste chirurgical, des conditions optimales de soins et d’écoute durant son séjour. Le Dr Schils investit beaucoup dans l‘établissement de collaboration multidisciplinaires avec des confrères et consœurs des services de radiologie, physiothérapie, imagerie moléculaire, département anti-vieillissement, anesthésiologie, neurologie, rhumatologie, oncologie, etc…
Ceci garantit au patient une approche intégrée, optimalisée et continue.
Enfin, les cliniques offrent des conditions de séjour garantissant un accueil personnalisé, un confort maximal et des services d’hôtellerie de luxe. Un service de conciergerie privée est ainsi disponible 24h/24.
La Suisse, et Genève en particulier, véhicule une image internationale de service, d’excellence et de précision, autant de qualités indispensables à la pratique de la neurochirurgie.
De par sa formation, le Dr Schils a été amené très tôt à développer ses activités internationales en perfectionnant sa formation à l’étranger, en dispensant des formations et en assistant en divers endroits du globe des chirurgiens devenus amis.
Actuellement, grâce aux exceptionnelles qualités d’accueil des cliniques privées genevoises, il est en mesure d’offrir des conseils de traitements à des patients du monde entier.
La recherche passionnée de la meilleure solution pour le patient lui assure un flux croissant de demandes de prise en charge émanant de patients internationaux.
Ses services peuvent aller du simple avis sur dossier, à l’intervention chirurgicale elle-même à Genève en passant par une consultation sur Genève où dans le pays hôte, une chirurgie accompagnée dans le pays hôte où la recommandation à un confrère du pays natif.
Un service personnalisé d’accompagnement est fréquemment mis en place durant votre séjour médical à Genève. Grâce à ce service, vos demandes les plus spécifiques peuvent être rencontrées dans les meilleurs délais.
Après une prise de contact avec le Dr Schils, ce dernier vous orientera vers ses collaboratrices aptes à répondre à toutes vos demandes administratives (prise en charge d’assurance, établissement de devis ou de programme médicaux, organisation de vos déplacements ou hébergement). Toute demande de conseil est assortie de la plus grande discrétion et du plus haut professionnalisme. Un résumé de votre consultation et des conseils prodigués vous sera remis après votre visite en français ou en anglais (autres langues moyennant délais et conditions particulières).
- Conférence Physio Genève: « Les approches minimalement invasives en chirurgie du rachis », 23 Mai 2014, Genève, Suisse
- Conférence Physio Clinique Générale-Beaulieu: « Nouveautés en chirurgie de la colonne », 5 Février 2015, Genève, Suisse
- Conférence ONU: « Pathologies du dos: de la prévention au derniers développements », 26 Février 2015, ONU, Genève, Suisse
- SFCR (Société française de chirurgie du rachis), meeting annuel, Paris 5-7 Juin 2014.
- SOLAS (Society of Lateral Access to the Spine): EMEA Meeting, Italie, 18-19 Novembre 2014.
- EUROSPINE Meeting annuel, Lyon, France, 1-3 Octobre 2014.
- Visite de travail à Moscou, Clinique Générale-Beaulieu, Moscou, Russie, 9-12 Mars 2015.
- XLIF Meeting (Chairman), 27 Octobre 2014, Berne, Suisse
- Training Sales Experts (Faculty), 19 Novembre 2014, Tolochenaz, Suisse
- BKP Course (Faculty), 4-5 Décembre 2014, Leiden, Pays-Bas
- Proctoring Vertebral Fracture treatment with the KIVA System (Zimmer),Sion, Valais, Suisse, 2 Septembre 2014
- Live Surgery avec 20 neurochirurgiens chinois, spécialistes dans la chirurgie du rachis: Lateral approach to the spine (Nuvasive), Clinique Générale Beaulieu, Genève, Suisse, 24 Juin 2014
- Surgeon to surgeon proctoring program: Lateral approach to the spine (Medtronic), Amman, Jordanie, 17-20 Mars 2014
- Live surgery, visite d'un neurochirurgien italien: Cervical Arthroplasty: Baguera-C, Clinique Générale-Beaulieu, Genève, Suisse, 30 Janvier 2015.
12, Chemin Beau-Soleil, 1206 Genève, Suisse
Tel : +41 22 329 45 20
Fax : +41 22 329 45 21
Email : info@schilsneurosurgery.com
Toute l‘équipe du Dr Schils se tient à votre
disposition pour tout renseignement ou prise
de rendez-vous.
Heures Bureau :
Lundi-Mardi-Jeudi-Vendredi 9h00-17h00
Mercredi 9h00-12h00
Le Docteur Schils est joignable à tout moment en dehors
de ces périodes en contactant directement les cliniques.
Infos pratiques :
Lors de votre visite chez le Dr Schils
veuillez penser à vous munir de vos documents radiologiques
récents, de votre liste de médicaments, d’un petit résumé
de vos antécédents médicaux.
Transports en commun :
– Ligne de bus numéro 3 et 21, Arrêt « Crêts-de-Champel »
– Aéroport International de Genève à 20 mn
– Gare Cornavin (Genève Centre) à 10 mn